Bangkok : 4 janvier

Ce matin nous nous sommes reposés puis nous sommes repartis à la découverte des quartiers un peu plus éloignés du centre touristique de Bangkok.

Afin d'accéder au quartier nous avons une fois de plus pris les bateaux publics. Nous sommes descendus dans le quartier chinois (China Town) afin de voir la belle porte du quartier ainsi qu'un beau temple : Sukhothai Traimit. La fierté du temple est (encore une fois) sa statue de Bouddha entièrement en or, mesurant 4,8m de haut sur 3,8m de large et pesant environ 5,5 tonnes.

Après cette visite nous avons pris pour la première fois le métro de la ville (bien excentré) et nous l'avons trouvé très propre, moderne mais désert ! On avait l'impression qu'il ne servait qu'aux touristes. Il faut bien avouer que le prix pour 2 arrêts était assez prohibitif : 19 bahts (0,50cts €) compte tenu du niveau de vie local. 

Nous sommes descendus au parc Lumphini. Il s'agissait la d'un grand parc, assez agréable. A l'entrée se trouvait la statue du roi Rama VI.

Puis nous avons continué à pieds jusqu'au temple Erawan. Le temple était en fait vraiment petit mais nous avons eu le plaisir d'y voir des danseuses en tenues traditionnelles.

Nous avons ensuite entrepris de nous mettre en route pour l'hôtel. Nous avons marché jusqu'au canal le plus proche, d'où nous avons pu prendre un autre type de bateau public (plus étroits). Nous avons croisé un français qui nous a indiqué où descendre et combien payer afin de ne pas payer un prix spécial touristes. Pour monter sur le bateau, il fallait s'accrocher à la corde sur le côté et se faire glisser sur les bancs : pas de zone d'embarquement comme sur les gros bateaux. La dame qui passait récupérer l'argent marchait tout simplement sur le rebord du bateau et se tenait d'une main pour prendre notre monnaie. Visiblement habituée, elle avait pour seule protection un casque sur la tête (contre les branchages) et elle s'occupait également d'arrêter le bateau à quai pour que les touristes et locaux puissent monter à bord (sans perdre de temps).

Une fois descendus au dernier arrêt nous avons du marcher encore un peu pour rejoindre le quartier de l'hôtel. Un transport pas tout à fait optimisé donc mais économique par rapport aux taxis et touk-touks.